Finalement, j'l'ai revu encore... Même si st' histoire me ressemble pas...
Depuis quelques jours, j'ai cet air en boucle qui résonne et bourdonne dans mes oreilles. Des
paroles qui tourbillonnent sans cesse, qui semblent plus que jamais me
représenter et m'interpeller. Troublée par mes pensées et cherchant des réponses, les mots se sont échappés de ma bouche sans m'avertir :
- Je peux te poser une question? Pourquoi on est ami? Est-ce que l'on est à ce point incapable d'être seul? Ça te fait peur que je te pose toutes ses questions?
J'ai encore le souvenir
d'un Amireux qui me lançait sincèrement :
- Tu me fais du bien et tu m'intrigues. Ça va m'en prendre ben plus pour
avoir peur!!!
Je suis abandonnique.
Cette nature
qui met l'abandon au centre de sa vie : régi par la peur d'être
jeté et qui, si souvent, a été blessée d'être délaissée. Sorte
d'angoisse constante, il m'arrive même de me positionner
inconsciemment dans ce rôle. C'est-à-dire que je fais tout ce
qui est en mon pouvoir pour me faire larguer. Parfois, en secret, je
me dis que bientôt ma « job » sera terminée. Parfois, je pense
que l'abandon est la seule et unique fin possible entre nous.
La comparaison semble absurde et
davantage relever du contraste, mais me voilà encore en train de jongler
entre la peur et la réalité. En mode défensive, je me prépare à solidifier peu à peu la barricade, ce qui me
permet de protéger mon petit cœur d'éventuels intempéries.
Mais qu'est-ce que tu veux, j'suis
faite comme ça...
Il m'arrive aussi de m'inventer des
histoires qui me font mal et là, j'ai une soudaine envie
de me sauver. La fuite étant un sentiment de liberté indescriptible.
Un peu comme cette soirée où je t'ai laissé ronfler sur le divan,
allant seule me réfugier dans ton lit. Cependant, le malaise m'a suivi. Au
réveil, le sentiment m'écrasant toujours, je me suis mise en
mode fugitive pensant déserter la place en silence et sans
justification. Mais, tu m'as surprise sur le fait, faisant merder mon
plan. Il a fallu que je m'explique. À voir ton visage perplexe, il
était clair que tu n'y comprenais absolument rien. Pour dire, j'ai
même décliner ton offre de café. Je voulais m'en aller. Tout le monde sait très bien que je ne suis pas
fonctionnelle si je n'ai pas pris ma caféine matinale.
Je suis
déserteuse.
Mais fait toi s'en pas avec ça,
j'pogne pas pantoute de ces temps-là!
Il s'agit d'un état émotionnel
qu'être abandonnique ou déserteur tout comme acheter un produit et
de rêver aux résultats. À l'opposer, lorsque je commence une
nouvelle routine soin, je n'abandonne jamais. Assidu, je fais la cure
avec persévérance. D'ailleurs, je me suis attachée à la crème corps fermeté nouvelle peau de Lise Watier.
L'innovation Raffermine®, extrait de soya, améliore efficacement la
fermeté, le teint et l'élasticité de la peau. Tant qu'à
l'Exfolactive®, elle stimule le processus naturel de dermabrasion et
active le renouvellement des cellules. Enrichi de beurres
nourrissants de coton, d'abricot, d'amande et de karité pour une
action adoucissante. Résultat : la sensation
d'une peau soyeuse et plus douce au toucher. De plus, la barrière
d'hydratation est régénérée et la texture de la peau beaucoup plus
belle. On ressent rapidement l'effet peau neuve et l'action
raffermissant en utilisant cette crème régulièrement, matin et soir.
Le rêve est devenu réalité, je suis esthète.
De nature rêveuse, jai cette compréhension du monde qui
passe par les sensations, l'émotion et l'intuition. J'ai besoin de
ressentir pour comprendre et me sentir en sécurité pour m'ouvrir.
Je possède un monde imaginaire bien à moi, teinté de fantastique,
de merveille et de fantaisie. Si je suis dans la lune, demande moi doucement à quoi je rêve...
Sinon, je chanterai : Elle avait
déjà fait son temps, les feux d'bengale dure pas longtemps...
Et je serai à nouveau
abandonnique...
À suivre...
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